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    ~ Ce personnage héroïque dont les aventures nous furent contées par le  maréchal Bugeaud,
    le maréchal Vallée ainsi que par Abd-El-Kader reste cependant totalement occulté par nos historiens ~

    Ceci est un récit véridique. Ce héros  nous conte cette aventure extraordinaire dans ses mémoires.
    Certains d'entre vous, connaissent peut-être déjà son histoire, pour les autres, allez jusqu'au bout. Vous serez surpris.


     

    Le père de notre héros, illustre oublié de l'Histoire de France, possèdait des terres dans le Sahel et la Mitidja. En 1832 ce jeune homme alors agé de 23 ans décide de l'y rejoindre. Né à Grenoble le 27 Septembre 1809 ce beau garçon, cavalier intrépide, le gousset toujours garni de Louis d'or, avait déjà découvert l'Italie, la Corse, la Sardaigne...
    Son cheval Kaddour, pur-sang de robe noire lui servait à parcourir l'ex Régence d'Alger, tombée aux mains des Français depuis le cinq Juillet 1830.

    Le fringant jeune homme, Lioune Rouche comme l'appelait les Arabes, fit un jour la connaissance de la veuve d'un ancien ministre de la Marine du Dey, Leilah Néfissah. Cette femme cultivée, parlant couramment le français aimait à... Lire la suite

     

     


     

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      ET D’ALGÉRIE  


    LES PLUS BELLES IMAGES D'ALGER ET D’ALGÉRIE
    DES IMAGES INSOLITES
    DES RARETÉS

    Alger la Blanche en 1930

     

    La relecture d'un passionnant bouquin "ALGÉRIE & TOURISME" *, édité par le Gouvernement Général de l'Algérie à l'occasion du Centenaire 1830-1930, m'a donné l'envie de concocter une sorte de diaporama constitué de quelque unes des plus belles photos et images sur Alger notre capitale et sur l'Algérie notre beau pays, celui que nous avons inventé, celui que nous avons créé.

    * "Algérie & Tourisme"  est un livre magnifique, rempli de superbes photos dont je vous livre ici quelques unes des plus belles illustrations .
    Cet ouvrage, non daté, est sorti des
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    RENCONTRES, HISTOIRES ET RETROUVAILLES INSOLITES

    "LE BARNUM"

    Tout ce que je vais vous raconter est vrai, rien n'est romancé. La vérité si je mens !

    LE BARNUM

     

    Nous sommes en 1987, j'ai décidé de changer de métier, j'ai besoin de liberté, le temps passe vite, j'aurais bientôt 49 ans, il est temps.
    Je quitte mon employeur pour me lancer à mon compte dans ce qui est, depuis fort longtemps déjà ma passion, "la brocante"...

    Inscrit comme « Non sédentaire », c'est à dire ambulant, je me dois d'acquérir rapidement un petit véhicule. Je décide donc de me payer une petite camionnette Toyota "Lite-Ace" (bien vite je m'apercevrais  que cela ne suffit pas et j’opterais pour un autre véhicule, un "Ford Transit " cette fois, neuf et surtout bien plus grand et donc plus apte à contenir quelques meubles en complément de ma marchandise de prédilection, c'est à dire objet et outils issus de l'art populaire, un art que j'affectionne tout particulièrement).
    En plus d'un véhicule il me faut m'équiper en matériels de présentation et de protection, indispensables pour déballer sur les "Foires et Salons" de rues, les Salons couverts n'étant pas assez nombreux pour pouvoir en vivre. Là mon choix s'oriente très vite vers un barnum plutôt qu'un parapluie bien trop léger. 
    Je me mets donc en quête et ma toute première recherche s'éffectue sur un journal local de petites annonces gratuites. 

     Et là, bingo !  La toute première annonce que je vois est inespérée : un Barnum est mis en vente dans mon quartier à Meudon-la-Fôret, à moins de 200 mètres de chez moi ! J'appelle et le RDV est pris pour la fin de cet après-midi même.
    Et ce soir là Marie, qui s'est joint à moi, va assister éberluée à une rencontre que seul un destin malicieux pouvait mettre sur la route... 
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    RENCONTRES, HISTOIRES ET RETROUVAILLES INSOLITES

    "AUX URGENCES DE RAMBOUILLET"

     

    Tout ce que je vais vous raconter est vrai, rien n'est romancé. La vérité si je mens !

    J’avais prévu de commencer cette nouvelle rubrique par une histoire de "barnum", mais l’actualité récente
    me pousse à vous raconter ma dernière rencontre "insolite"... Insolite, c’est le moins qu’on puisse dire !

    AUX URGENCES DE RAMBOUILLET

       Comme certains ont pu sans rendre compte, je fus hospitalisé en urgence le 12 septembre 2012. Hospitalisation d'abord prévue à l'hôpital de Chartres mais au dernier moment après quelques conseils avisés, j'opte finalement pour les urgences de Rambouillet... Mektoub.
       Douze jours de souffrances et de soins intensifs. Pendant ce séjour j'ai eu droit à trois voisins de chambrée. Pour les deux premiers, rien à dire. Pour le troisième cela se gâte dès son arrivée à cinq heures du matin. Bruyant, amical avec les infirmières qu'il semble bien connaître, il se révèle de suite être un voisin plutôt désagréable. Il est vrai que... Lire la suite

     

     


     

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  • Rajoût au "Petit carnet bordeaux"



    Lancé le 11 juillet 2012, mon blog a aujourd'hui quelques mois d'existence et déjà s'accumulent les messages … mais celui reçu ce 10 août à 19 heures 49 me posait un problème ardu. Envoyé par Yvan Sellès, un copain de classe de Lelièvre, ce message était plutôt sibyllin... :
    « Que faisais-tu le 02 février 1955 au cinéma Majestic, qui ce soir-là était transformé en salle de spectacle ... »
     Après 57 ans ...dur, dur. Dans ma tête tout ce bouscule : Marino-Marini, Jacques Hélian, Paul Anka, Maurice Chevallier, The Platters, Georges Brassens etc...  
    Après mures réflexions, le lieu, la date … me laissait penser un peu au hasard que ce ne pouvait être que Brassens, mais j'avais un doute.
    L'ours mal léché était à l'époque un de mes préférés.

    Au petit bonheur la chance, comme me l'écrit  Yvan, j'ai tapé dans le mille, c'est bien Brassens.
    Le plus étonnant dans tout cela et preuve irréfutable, Yvan avait en mains deux petites feuilles perforées de mon petit carnet bordeaux. Ces feuilles que je lui avais données à l'époque lui avait permis de récolter dans les coulisses, la signature de son idole et celles de quelques autres artistes de la soirée.
    Extraordinaire, ces 2 petites feuilles (recto verso) ne l'ont jamais quitté... 57 ans plus tard.

     


    Brassens sur scène dans les années 60

     

     



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  • SOUVENIRS - 3ème partie

     

     

     

    J'ai 24 ans, et ma vie ne s'est pas arrêtée...

    Bien sûr je vais encore glander quelque temps. Besoin de souffler. Je retourne sur la Côte d'Azur pour quelques jours (avec Nono et Riri, mes deux potes de la traversée Alger-Marseille sans retour possible). Puis retour définitif sur Paris.

    Je vais vivre, sans travailler, pendant quelques temps, dans un cagibi de deux mètres carrés, nourri par mon père. Il me fallait fermer la porte pour déplier mon lit de 80 cm de large. La belle vie d’un exilé, enfin j’avais un toit sur la tête. Quand je pense ce que certains d’entre vous ont vécus, je m’estime un privilégié. Au passage, je pense à ce Maire de Marseille, cet individu qui a osé dire qu’il fallait qu’on aille... Lire la suite

     

     


     

     

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  • SOUVENIRS - 2ème partie

     

    CIT 160 - BENI-MESSOUS

     

    Peu de traces visibles de ces quatre mois d’armée à Beni-Messous, si ce n’est cette photo de trois tondus, prise il me semble au mess.
    Pour en connaître l’histoire, il vous faudra patienter un peu, car je la raconterai dans ma saga "Que sont mes platanes devenus…", à sortir bientôt dans toutes les bonnes salles de la capitale et de province.
        Pour l’instant vous pouvez admirer de gauche à droite : Pierre Rosazza de la rue Léon Roches, Alain Chouquet de la rue Cardinal Verdier et  Jean-Claude Boriello de la rue des Moulins...
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  • SOUVENIRS - 2ème partie

     

    SOUVENIRS, SOUVENIRS, souvenirs, souvenirs, souvenirs,  souvenirs, souvenirs...

    Souvenirs, Souvenirs... C'est vrai que j'en ai des souvenirs, des bons, des moins bons. Les moins bons, je ne vous en parlerais presque pas, ils n’ont aucun intérêt, si ce n'est, mon premier et le plus mauvais, la séparation de mes parents, en novembre 1950, j'ai alors 12 ans, je suis à Camille Douls, et j'ai l'impression que le monde va s’effondrer. Sans ma mère, je ne serais plus rien, la vie est finie. Mais à cet âge-là, la vie reprend vite son cours. En fin de compte, ma maman, ne sera pas très loin, bien sûr, je n'aurais plus son petit bisou, chaque soir, avant de m'endormir, mais je la verrais, une fois par semaine.

    La vie, est ainsi faite, c'est toujours, les gosses qui trinquent. Il faut dire tout de même qu'à cette époque, les divorces, ne sont pas encore monnaie courante, comme maintenant. Je vais subir cela sans pouvoir en parler avec personne, au contraire même je le cache. D'ailleurs cela n'intéresse personne. Seules quelques personnes du quartier s'en sont peut-être rendu compte car maman vient une fois par semaine rendre visite à mes grands-parents qui... Lire la suite


     




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  • NOS ÉCOLES DE BAB-EL-OUED
    ET D'ALGER

     

    ÉCOLE

    SAINT-JOSEPH

    (Saint-Jo)

     23 rue Cardinal Verdier


    Années

    -----1946/1947-----

    pas de photo

     



    Saint Joseph, Saint des églises chrétiennes

     

    Années

    -----1947/1948-----

    -----1948/1949-----

    1 photo de classe

     

    ECOLE

    LAVIGERIE

    8 rue de Bône


     Charles Martial Lavigerie (1825/1892) fondateur des Pères blancs et des Sœurs blanches.
    Archevêque d'Alger et de Carthage en 1867. Cardinal en 1882.

     

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  • LE PETIT CARNET BORDEAUX

     


    J'ai consacré une grande partie de mon temps dans les années 1948-1958, au cyclisme. J'avais réuni à l'époque une sacré collection de revues sur ce sport que j'ai effectivement pratiqué en amateur, le temps de trois petits tours et puis s'en va. Comme vous avez pu le lire dans ma rubrique « le cyclisme », ma carrière n'a pas duré longtemps, mais j'ai toujours aimé ce magnifique sport. Je continue toujours de suivre les exploits de nos coursiers, mais je dois avouer que depuis quelques années j'ai un peu levé le pied, le dopage y est certainement pour beaucoup.
    Je fus longtemps en possession d'une collection de photos dédicacées par... Lire la suite


     



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