• cartes postales-série exceptionnelle

    ALGER AVANT 1962
    Une oeuvre française
    Une serie de cartes exceptionnelles 

     

    Photo encadrée de la Baie d'Alger
    Format 77 x 32, pour cette belle vue de notre capitale. Pièce unique, tirage effectué par mon photographe.
    Si un tirage photo vous intéresse (ni le titre Alger ni le filigrane ne figureront sur le tirage), prière de me contacter
    sur la pastille "CONTACT" et je vous mettrez en relation directe avec mon photographe, qui peut vous l’envoyer sous tube carton. 
    A vous de l’encadrer mais attention il s'agit d'un format spécial, donc cadre à faire fabriquer sur mesure.

    Voici une exceptionnelle série de cartes postales à travers laquelle je vous propose de découvrir ou de redécouvrir Alger, sa baie, ses bâtiments, ses édifices etc., tels qu'ils étaient avant 1962. J'espère que vous  retrouverez souvenirs, émotion, tristesse ou émerveillement au travers de cette ballade dans le passé.

    Chaque carte que je vous propose est accompagnée d’un commentaire sur les lieux qu’elle présente. Elles ont été éditées par les Editions CIM, JANSOL, GALLICE, LA CIGOGNE, JOMONE, GREFF.
    Annotées (pas toutes), elles ont circulées pour la plupart d’entre elles sous enveloppe, étaient adressées à l'attention de personnes résidant certainement en Métropole, mais qui aurait bien connu la ville d’Alger longtemps avant. Pour exemple, ce Pieds-Noirs écrivant à sa maman et qui lui fait part de beaucoup de changement, lui indiquant l'emplacement exact de monuments, quartiers et autres données géographiques...
    Une mine d'or datée de 1954 à 1962, la sale période de notre vie Là-Bas. 

    Suivez le guide…
     
    La première carte n'est qu'une petite mise en bouche, une kémia... la suite sera beaucoup mieux !   

     

    Cliquez sur les images pour les agrandir

    carte postale : Le Port de l’Agha et la Baie d’Alger.

    ~  Le Port de l’Agha et la Baie d’Alger  ~ 
    Edition La Cigogne Alger

     

     

    Dans la brume, une petite partie de la ville. Le Port de l’Agha, sa petite passe, le Grand Môle et sa rue de Carcassonne, le traversant d’un bout à l’autre.
    A gauche tout en haut, l'extrémité de la jetée de Mustapha (le petit trait blanc).
    A droite le dernier quai, celui de Lorient. La grande et belle Baie d’Alger se déploie jusqu’au Cap Matifou.
    Cette carte est datée 16 mars 1942, tout cela va évoluer avec le temps et les besoins de la ville pour devenir un grand port.
     

    ~  Vue aérienne d'Hussein-Dey, le Jardin d'Essai,
    le Vélodrome Municipal et à droite la Ville  ~
    Edition Combier Imp. Macon - CIM

    Au premier plan une toute petite partie d'Hussein-Dey, sa Manufacture de Tabacs et ses abattoirs, puis la rue de Constantine (continuité de la rue Sadi-Carnot d’Alger).
    Ensuite le Ruisseau, son imprimerie de la Banque d'Algérie, son église Ste. Monique-St. Jean Don Bosco (Ste. Monique mère de St. Augustin), rue de Polignac.
    Le quartier des Platanes, son Usine à Gaz à gauche et sa Centrale Électrique, entre la rue Sadi-Carnot et la Route Moutonnière, (l’ensemble bien visible sur cette carte). Le Stade Municipal et sa piste cycliste, juste derrière la masse touffue du Jardin d'Essai et de son Parc Zoologique. Dans le prolongement le quartier du Hamma. Puis le quartier de Belcourt (qui commence où au juste?) qui finit Place Général Sarrail. Sur la droite le Bassin de Mustapha et son quai de Lorient. En haut à gauche, derrière le Bois de Boulogne, Hydra.
    Dans le fond notre belle ville d'Alger étagée sur les collines. A l’extrême droite le mont de la Bouzaréa.
    Vue aérienne d'Hussein-Dey, le Jardin d'Essai,  le Vélodrome Municipal et à droite la Ville
     
    Jardin d'Essai - Vue aérienne.

    ~  Jardin d'Essai - Vue aérienne  ~
    Edition Jansol

    Vue de la mer le Jardin d'Essai et son allée centrale.
    Dans l'axe le Musée National des Beaux-Arts, on devine à ses pieds, la grande rue de Lyon qui court de la place Général Sarrail à la route ou ravin de la Femme Sauvage. Sur la gauche le bâtiment blanc c’est l'Institut Pasteur.
    Entre les deux à mi-côte, blottie dans la verdure la Villa Abd-El-Tif et ses dépendances. Sur le plateau à droite les immeubles du Clos Salembier, sur sa gauche le quartier indigène dans l’axe du musée.
    En fond les collines du Sahel, et plus loin encore l'Atlas Blidéen et le Pic du Mouzaïa sur la gauche. Sur la droite après le Jardin d’Essai, les premiers immeubles du Hamma, donnant sur la rue de Lyon. Après le Jardin à droite la deuxième rue, c’est la rue d’Amourah chère à notre ami Gil Roberts, l’auteur de la fameuse chanson « Ma Ville Blanche », mon coup de cœur. Pour être plus complet, la première rue après le Jardin, porte le nom du premier Directeur (1842-1868) du Jardin d’Essai, Auguste Hardy. Trois rue plus loin (non visibles sur cette carte), une rue (Caussemille) qui doit vous rappeler des souvenirs, eh oui c’est ça, nos allumettes étaient fabriquées ici même par la Société Caussemille au nom éponyme. Au premier plan sur l'espace compris entre la rue Sadi-Carnot et la Route Moutonnière "le Square Lavignon", on peut y  voir deux courts de tennis, quatre boulodromes, des terrains de basket et des mini gradins. Peut-être un club du Hamma ?
     

     ~  Le Stade Municipal et son Vélodrome  ~
    Edition La Cigogne

     
     
    De gauche à droite, le Jardin d'Essai, le Stade Municipal et sa piste cycliste (sur lequel, entre autres, Hubert Ferrer gagna le Championnat de France Militaire en 1959) puis l’H.L.M. Boucher et l’École Pratique d'Industrie du quartier des Platanes.
    Devant le Stade, les Piscines municipales.
    Le long du H.LM. à droite, la rue Hélène Boucher, à hauteur du 199 de la rue de Lyon.
    Au premier plan, donc, la rue de Lyon.
    A voir avec plaisir, la Pub Bastos, dans le virage opposé de la piste cycliste.
    Le Stade Municipal et son Vélodrome.
     
    Diar-el-Mahçoul

    ~  Diar-el-Mahçoul  ~
    Edition La Cigogne

     

      

    «La Cité de la Promesse Tenue».
    La Cité construite avec les pierres de la carrière de Rognes, par F. Pouillon, architecte et ami de notre Maire J. Chevalier. Cité jumelle de Diar-es-Saâda.
    Sous la cité de Diar-es-Saâda et du Clos Salembier, Diar-el-Mahçoul étend ses bâtiments au-dessus du boulevard Cervantès.
    Sur notre gauche, le Clos Salembier, sur notre droite, un peu plus haut et non visible, s'étend Diar-es-Saâda.
     

    ~  Diar-es-Saâda  ~
    Edition La Cigogne

     

     
     
    A hauteur du Clos Salembier, la cité de Diar-es-Saâda, «la Cité du Bonheur», au-dessus de Diar-el-Mahçoul.
    Derrière, Alger et son Port.
    Diar-es-Saâda.
     
    La Ville et le Port.

    ~  La Ville et le Port  ~
    Editions CIM

    Vue générale sur la ville d'Alger. Au premier plan à gauche, un tout petit bout du Jardin d'Essai.
    En parallèle, la rue Sadi Carnot qui part du boulevard Baudin et qui court jusqu’aux limites d'Hussein-Dey et de la rue de Polignac. Cette dernière se continue par la route du Ravin de la Femme Sauvage qui elle grimpe jusqu’à La Redoute et Birmandreïs.
    De l'autre côté du terre-plein, la Route Moutonnière qui démarre Rampe Poirel et qui court jusqu'à Maison-Carrée.
    Bien étalés et assez bien visibles, les môles et quais du Bassin de Mustapha :
    dans l'ordre : les Quais de Lorient, d'Herbillon, de Granville, de Gravelines, de Gabés, de Fédalah, de Fort de France, de Falaise, de Fécamp, de Dakar, de Dunkerque, de Dieppe, de Caen, de Calvi, et de Sète. Ainsi fini le Bassin de Mustapha.
    Mais tant que j'y suis, je poursuis la liste sur la totalité du Port d'Alger, à savoir les quais de Calais, de Brest, de Bordeaux, de Bonifacio, de Boulogne, de Bizerte, de Biarritz, de Bastia, de Bayonne, d'Abidjan, d'Antibes, d'Audierne, d'Ajaccio, d'Angkor, d'Aigues Mortes, d'Arles, d'Agde, d'Arcachon, d'Azzemour, d'Arzew, d'Agadir, enfin le petit môle de Lyvois, dans la Darse et l’excroissance du Sport Nautique.
    Visible en totalité, la Jetée de l'Agha ou Jetée de Mustapha, et dans la continuité la Jetée de l'Est, et son môle à charbon. A peine visible dans le fond à droite, la Jetée Nord qui rejoint les îlots de l'Amirauté.
    Et bien sûr Alger qui s'étale de tout son long sur cette magnifique baie.
    Nous voilà bien caler pour découvrir Alger dans toute sa splendeur, la découvrir plus en détails.
     

    ~  Vue aérienne sur le Port – A droite la Casbah  ~ 
    Editions CIM

    Au tout premier plan, le quai de Dieppe qui fait face au Grand Môle (quais de Sète et de Calais) traversé de part en part par la grande rue de Carcassonne, elle-même coupée par les rues de Chauny, de Castres, de Cannes et de Cahors de gauche à droite. Mais qu’abritaient tous ces petits bâtiments bien alignés sur les quais ?
    Après le quai de Brest, vient ensuite le petit Môle aux Minerais, avec ses quais de Bordeaux, de Bonifacio et de Boulogne.
    Puis face à la belle trouée du boulevard Laferrière après le quai de Bizerte, le Môle Amiral Mouchez et ses quais de Biarritz, de Bastia et de Bayonne.
    En bout du Môle Amiral Mouchez, la petite passe du Bassin de l’Agha (on aperçoit à droite de l’image, un tout petit bout de la jetée, à l’angle de la Jetée de Mustapha et de la Jetée de l’Est).
    Derrière le Môle A. Mouchez, les Bassins de Radoub, le quai d’Auray et du Sud.
    Puis face au fameux trio « Préfecture, Mairie et Hôtel Aletti », le Môle de France et la « Nouvelle Gare Maritime » avec ses quais d’Antibes, d’Aucierne et d’Ajaccio.
    Au pied de notre ascenseur et des Rampes Magenta et Chasseloup Laubat, la Gare Ferroviaire d’Alger étalée le long du quai d’Abbeville.
    Puis suivent le Môle El-Djefna et l’Ancienne Gare Maritime, ses quais d’Aigues Mortes, d’Arles et d’Agde.
    Non visibles sur cette carte, le quai d’Arcachon, d’Azemmour, d’Arzew et d’Agadir etc…
    Puis la Darse et l’Amirauté.
    Au fond à gauche, la tâche claire c’est la Carrière Jaubert, puis Notre-Dame d’Afrique.
     
    Vue aérienne sur le Port – A droite la Casbah
     
    Vue générale

    ~  Vue générale  ~
    Editions Jomone

     

     

    Cette vue, prise certainement des hauteurs du Télemly, nous permet de bien voir la passe du Bassin de Mustapha.
    Plein centre, le Grand Môle est impressionnant avec ses deux quais et sa rue de Carcassonne.
    A sa gauche, le petit Môle aux Minerais. A sa droite le petit quai de Calvi.
    Au fond, la baie d'Alger s'étend jusqu'au Cap Matifou.

    Petite question : qui connait les immeubles du premier plan, et par conséquent la rue qui se trouve au premier plan ?
     

    ~ Vue du Balcon Saint-Raphaël  ~ 
    Edition --

     

    Photo prise du Balcon ou Belvédère Saint-Raphaël.
    Le Balcon se trouvait en bordure du Parc Saint-Raphaël boulevard Maréchal Galliéni, dans le quartier Laperlier, sur les hauteurs d'Alger.
    A la limite d'El-Biar, ce parc appartenait aux deux municipalités depuis 1928.
    La vue sur Alger etait imprenable.
    Au pied de ce balcon s'étendaient, magnifiques, les quartiers Laperlier, La Robertsau, les Tagarins, Isly, l'Agha, Fontaine-Fraiche, Mustapha, la Casbah, Mustapha-Inférieur, Belcourt, Le Hamma...
    Vue du Balcon Saint-Raphaël.
      

     

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