Livre d'or

A Mustapha,
Merci pour les compliments, je suis vraiment touché. Que mon travail plaise à tous, c'est formidable et super encourageant pour la suite. Vous qui êtes nouveau à me suivre, je vous redit que je suis lent (pour mieux faire) et qu'il vous faudrat revenir sans cesse me voir régulièrement. Un simple clic. Dans cet espoir, je vous salut et vous dit à bientôt sur la toile. Bienvenue Alger.

Alain.

A tous,
Merci de votre visite, aujourd'hui cela se presse au portillon, à 16 heures 30, vous êtes déjà 23. Je vous prépares de belles choses pour les jours à venir. D'abord une page de "Souvenirs", où vous retrouverez des gens que vous connaîssez certainement, puis plein de nouveautés.
Patience, patience celà arrive. Des textes, des CPA, des photos presque jamais vues etc... Avant Noël, une saga de 20 pages et 200 photos qui je l'espère vous plairat.
Passez me voir, c'est bien, laissez un message c'est mieux.
Salut à tous, et encore merci de votre fidélité.

A Hélène Sambuchi,
A part un message vide, sans pièce jointe, le silence est total... que dois-je en penser ?
Mes découvertes sont peut-être les bonnes.

A tous,

   Un petit point au bout de un mois et demi d'existence (12 juillet - 27 août) : 1238 visiteurs, une cinquantaine de messages sur le livre d'or, beaucoup, beaucoup de messages sur ma messagerie perso, font chaud au coeur. Quatre copains du quartier et deux de Lelièvre retrouvés. Trois autres sur le feu, qui n'ont pas d'ordi et que je dois appeler très bientôt. Beaucoup d'inconnus, dont certains ont laissés une trace sur le "Livre d'Or", se sont faits connaîtres. Le bilan, certes modeste est plus que positif pour moi.
   N'étant pas un foudre de guerre en informatique, comme le dit si bien Yvan (il se reconnaîtra), je suis lent, mais vous serez surpris par la quantité de choses que je vous prépare. Des choses inédites, qu'il faut préparer, pas du, tout cuit prélevé sur des revues ou autres supports ( J'en met tout de même un peu). Tout vient à qui sait attendre. 
   Comme le dit si bien Pierre (ci-dessous), j'essaye de trouver les mots simples et justes pour vous intéresser. Comme vous avez dû vous en rendre compte, pour l'instant tout ou presque tourne autour de ma petite personne. Narcissique, non pas du tout, allez un peu tout de même, sinon je n'aurais pris le risque de faire ce modeste blog. Mon objectif, c'est parler de notre pays, de notre ville et surtout de notre quartier, ce qui m'interesse c'est Alger, quelle soit le support c'est Alger la vedette. J'ai commencé par vous parler de moi, de ma famille et de mon environnement, il fallait bien commencer par quelque chose, encore un petit effort et bientôt, il n'y en auras que pour l'Algérie, c'est promis. Mais ne comptez pas sur moi, pour vous parler de l'actualité, et de nos problèmes du jour (je laisse celà aux spécialistes), j'ai de quoi faire avec notre passé. Ce que je souhaite, c'est que vous soyez atteint au moins d'une flèche droit au coeur, comme mon ami Pierre vient de l'être, et je serais ravi.
   En souvenir de notre passé "Là-Bas", je vous adresse un amical salut. Venez nombreux, ameutez vos amis, vos connaissances, ils découvriront ainsi, que nous avions les mêmes problèmes qu'eux, mais que nous avions le soleil en plus qui nous aidait à ce que notre misère soit plus belle, nous n'étions pas tous des nantis.
   Alain du 60.

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En voilà une nouvelle et une bonne, je suis né à Souk-Arhas, c'est la grande trouvaille de l'année. Et vous, c'est peut-être le moment de vous dévoiler, allez chiche, nom, prénom, date et lieu de naissance, votre adresse "Là-Bas" et tout le toutim, pas capable n'est-ce pas...

 J'attends votre réaction à la face du monde.

Didine, encore moi, qui des Soliverès habitaient au 58 ?

Salut Didine,

Tu es le meilleur, une mémoire d'élephant, la mémoire du quartier, donc le 62, c'était chez les Archen. Mais à part le chemin qui montait tout droit vers Madame l'Afrique, il y avait juste après les escaliers, sur la droite, un petit chemin qui longeait le ruisseau et donc le ravin (que l'on pouvait sauter, et ainsi atterrir sur la terrasse du 64). OK pour cela je pense, mais le long de ce petit chemin, il y avait un copain qui habitait, il avait un frère plus agé que nous, qui était copain avec le fils Touati de notre immeuble au deuxième. Comment s'appelait cette famille, et surtout quel était le prénom de notre copain, un grand costaud, qui jouait bien au foot ?

 A toi de jouer, d'avance merci, et mes amitiés à ta grande soeur, qui était copine de ma mère (elles papotaient souvent ensemble, dans la première pièce de chez toi, à droite je pense, donnant sur la terrasse avant).

Tchao

Alain

Vous confondez peut-être avec la clinique Barbier Hugo, face au 60. Pour nous la rue Larrey, était la rue des Pompes Funèbres et du fabricant d'Halva.

A l'angle du 60, des escaliers de sept ou huit marches menaient au chemin montant à N.D.d'Afrique. A cet angle donc, une terrasse mitoyenne des Chenennou, et en fond, une petite maison, habitée par la famille Archen, et ses enfants (voir le 60). Par contre effectivement, un peu plus haut sur la droite du chemin, une très belle villa abritait une famille de grande tente certainement. Quant au nom, perdu dans le dédale de mon cerveau rabougri...

  Tant que je vous tiens, savez vous combien d'enfants avaient les Soliverès du 60, Jean-Pierre et ... ?

A mon avis, aucun nom. Sûrement le 62 de la rue Cardinal Verdier tout simplement. Le 64 se trouvant rue Larrey (le grand immeuble). Ce n'était pas une impasse, mais un chemin qui donnait route de Notre Dame d'Afrique. On y trouvait sept ou huit villas. A part la famille que je cite, je ne connaissais pas les autres. Et vous ?